Dans Splendor, vous dirigez une guilde de marchands. À l’aide de jetons symbolisant des pierres précieuses, vous allez acquérir des développements qui produisent de nouvelles pierres (les bonus). Ces bonus réduisent le coût de vos achats et attirent les nobles mécènes.
Chaque tour est rapide : une action et une seule ! Le premier joueur à parvenir à quinze points de prestige en cumulant nobles et développements déclenche la fin de la partie.
Au cours de la partie, les joueurs prennent des jetons pierre précieuse et or. Avec ces jetons, ils achètent des cartes développement, qui rapportent des points de prestige et/ou des bonus. Ces bonus permettent d’acquérir les cartes développement suivantes pour un coût moindre. Lorsqu’un joueur possède assez de bonus, il reçoit immédiatement la visite d’un noble (ce qui lui rapporte aussi des points de prestige).
Dès qu’un joueur atteint 15 points, on termine le tour en cours et le joueur qui possède le plus grand nombre de points de prestige est déclaré vainqueur.
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Beau, grand, blond, athlétique, Marc ANDRE a le physique avantageux qui sied à tous les auteurs de jeux. (Ah zut ! Ils ont collé une photo ! Il faut que je trouve autre chose…).
Né en 1967 (pas possible, je suis aussi vieux que les Space Cowboys !), dans le Sud de la France où l’on oblige les enfants à jouer aux Échecs dès l’âge de 4 ans. En fait non, c’est juste que dans ma famille l’esprit ludique est un art de vivre, ou pas, c’est vous qui voyez. J’ai donc côtoyé les jeux de réflexion autant que les jeux de société de tous poils, pour joueurs imberbes ou velus.
Puis les années 80 et sa révolution : les jeux de rôles qui libèrent l’imagination et la créativité. Ce fut une révélation ! Un jour, moi aussi je créerai des jeux ! Je m’y suis mis tout de suite, d’abord des jeux de rôles, puis des jeux de bataille pour jouer avec mes potes et enfin, beaucoup plus tard, des jeux de société.
Aujourd’hui, Splendor est mon deuxième jeu édité. Comment ai-je fait ? Grâce à mes supers pouvoirs psychiques hypnotiques lors de rencontres déterminantes (Sébastien Pauchon et CROC). Pour conclure, je dédie ce jeu à CROC qui a toute ma sympathie et ma considération, à mon épouse et mon fils qui ont tout mon amour.
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« Non mais plus sérieusement, c’est quoi ton vrai travail ? » Illustrateur. Horrible métier s’il en est. Habituellement fourvoyé dans les univers d’Heroic Fantasy ou de Science Fiction pour les supports ludiques et littéraires, il était temps pour moi de me racheter une conscience.
Né en 1976 (un jeunot en comparaison). Rapidement, l’évidence d’une limite d’âge nécessaire pour supporter les horribles conditions de travail au sein des Space Cowboys se révéla : humour, jeux de mots, références séculaires et même une franche et bonne camaraderie. Révoltant. Usant pinceaux et stylets depuis presque 10 ans pour différents éditeurs français et étrangers, j’enseigne aussi l’illustration numérique à une jeunesse désirant emprunter ce chemin de perdition.
Cumulant les vices, je pratique aussi le jeu sous plusieurs formes : jeux de plateau, de rôles, de stratégie, de figurines… La possibilité de collaborer sur le premier jeu des Cowboys fut donc le fruit d’une intense réflexion de quelques microsecondes. Un grand merci à Philippe MOURET et à l’équipe de Space Cowboys pour leur confiance et leur patience, ainsi qu’au papa de Splendor : Marc ANDRE.
Je terminerai par un terrible aveu : j’ai joué à Splendor et j’ai adoré. Mon âme est définitivement perdue.
Fabriqués en France
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Parfait en Duel
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